Que le monde du sport devienne de plus en plus technique est une réalité qui n’échappe à personne. Avec l’apparition des potentiomètres et des logiciels qui analysent l’activité fichiers générés lors de nos sessions de formation, nous pouvons détailler notre capacité de performance.
Face à tant de technologie, on peut être dépassé et une fois l’investissement réalisé, utiliser le potentiomètre comme un dispositif d’entraînement pour avoir une donnée de plus sans en tirer plus. Si tel est votre cas, la meilleure chose à faire est de contacter un formateur professionnel afin que :
- Avec une consultation d’une heure, vous pouvez demander tout ce que vous devez savoir pour utilisez « vraiment » l’appareil coûteux que vous transportez sur votre vélo.
- Téléchargez un plan d’entraînement spécifique au cyclisme par puissance.
Vous devez tenir compte du fait que le potentiomètre , utilisé correctement, c’est le meilleur outil pour améliorer vos performances et faire ressortir le potentiel génétique que vous avez en vous.
Cette performance, en utilisant le bon logiciel, peut être parfaitement analysée en un coup d’œil afin de travailler avec deux objectifs:
- Consultez vos progrès grâce à l’entraînement.
- Vois l’adéquation de tes qualités avec les exigences des compétitions auxquelles tu participes.
La courbe de puissance d’un athlète est le nombre de watts que vous êtes capable de déplacer en un temps donné. Intuitivement, vous imaginez déjà que moins il y a de temps, plus il y a de puissance et inversement, plus il y a de temps, moins il y a de puissance. Le tracé de cette courbe ressemblerait à ceci :
La courbe de puissance est le nombre de watts que vous êtes capable de déplacer en un temps donné
La puissance est sur l’axe vertical et le temps est sur l’axe horizontal. Plus le temps est long, moins il y a de puissance et donc, la courbe a une ligne descendante.
C’est l’expression de ce que l’on ressent quand on pédale.
Nous attaquons le groupe et obtenons notre puissance maximale pour accélérer fort ou sprinter pour obtenir notre « Personal Record » ou « KOM » sur Strava.
Comme il faut maintenir cet effort, la puissance baisse et la douleur devient insupportable. L’attaque devient un rythme élevé insoutenable jusqu’à ce que la puissance chute déjà à des rythmes aérobies élevés. Enfin, dans les rythmes aérobies inférieurs, c’est lorsque la puissance est au minimum mais qu’on peut la maintenir tout au long de la sortie.
Une courbe de puissance d’un athlète comme celle-ci donne beaucoup d’informations puisque si on superpose la courbe actuelle avec la courbe du mois, du trimestre ou de l’année dernière, on peut voir si elle monte ou descend et donc si nous nous sommes améliorés ou détériorés, respectivement.
La chose habituelle, cependant, n’est pas qu’il se déplace en parallèle mais qu’il y ait des augmentations ou des diminutions de certaines valeurs ponctuelles et donc que les courbes se croisent. Cela rend nécessaire l’utilisation d’une série de concepts clés lors de l’analyse.
Dans l’article suivant, je vais vous expliquer quels sont les concepts clés dans la puissance de la courbe de puissance d’un athlète.